Tango de 1949

Paroles de José María Contursi Musique de José Dames.

 

 

 

Quelques enregistrements :

En 1949

  • Miguel Caló, avec Raúl Berón ;
  • Aníbal Troilo, avec Edmundo Rivero ;

 

  • chanté par Rubén Juárez en 1973 ;
  • Orlando Tripodi, avec Rosanna Falasca, en 1982 ;

 

et aussi, à des dates non spécifiées :

  • Atilio Stampone, avec Roberto Goyeneche ;
  • Orquesta Típica Porteña, avec Roberto Goyeneche ;
  • chanté par Alberto Marino ;
  • chanté par Ariel Ardit ;
  • et joué par Esteban Morgado.

 

 

Llegaste como un rayo deslumbrante de luz...

 

¡Yo andaba por el mundo sin amor ni quietud!

¡Mis ansias ya se habían refugiado

entre las ruinas de mi pasado!

Traías en tus ojos... en tus labios... tu voz...

la cálida promesa de un destino mejor...

mis manos y tus manos se encontraron

 

y nuevamente palpitó mi corazón.

 

Tú...

con la magia de tu amor y tu bondad...

Tú...

me enseñaste a soreir y a perdonar...

¡Ves...

yo era un grito de rencor

en el trágico final

de mi desesperación!

Ves...

todo aquello se esfumó

como brumas en el mar

al llegar la luz del sol...

Tú...

milagrosa musiquita de cristal...

Tú...

me enseñaste a sonreir y a perdonar!

 

Qué tristes eran todos mis momentos sin ti...

me ahogaba la tortura de rodar sin morir.

Cansado de mis penas y mi hastío

y de esos viejos recuerdos míos!

Tus besos... tus ternuras... tu emoción y tu fe

hicieron el milagro de borrar el ayer...

aquel lejano ayer ensombrecido

 

que nunca... nunca... nunca más ha de volver!

Toi

 

Tu es apparue comme un rayon éblouissant de clarté...

J’allais de par le monde sans amour ni paix !

Mes désirs avaient déjà trouvé refuge

parmi les ruines de mon passé !

Tu portais dans tes yeux..., tes lèvres..., ta voix...

la promesse chaleureuse d'un avenir meilleur ...

Mes mains et tes mains se sont rencontrées

et mon cœur s’est remis à battre.

 

Toi...

avec la magie de ton amour et ta bonté ...

Toi...

Tu m’as appris à sourire et à pardonner...

Vois !...

J'étais un cri de rancœur,

à la fin tragique

de mon désespoir!

Vois !...

tout cela s’est estompé

comme brumes sur la mer

quand point la lumière du soleil ...

Toi...

merveilleuse petite musique de cristal...

Toi...

Tu m’as appris à sourire et à pardonner...

 

Qu’elles étaient tristes toutes mes heures sans toi ...

M’étouffait ce tourment d’errer sans mourir.

Fatigué de mes peines et mon ennui

et de mes vieux souvenirs !

Tes baisers ... ta tendresse ... tes sentiments et ta confiance

ont su miraculeusement effacer l’hier...

ce lointain hier, maintenant éclipsé,

 

qui jamais ... jamais… jamais ne devra revenir !


 

     Voici la version de Rubén Juárez de 1973 :

 

 

 

 

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