Nuestra noche

Tango des années 1950.

Paroles d'Italo Silvestre Gianetti (YaravíMusique de Carlos Viván.

 

Quelques Interprétations :

  • Armando Cupo, avec Alberto Morán, entre 1954 et 1958 ;
  • Alberto Oscar Gentile, avec Alfredo Montalbán, entre 1950 et 1960  ;
  • Carlos García, avec Héctor Pacheco ;
  • Roberto Caló, avec Aida Denis en 1957 ;
  • Carlos Di Sarli, avec Roberto Florio en 1957.

 

Nuestra noche

 

Muchachita,
no te olvides,
que esta noche, como siempre yo estaré
en la esquina que yo te conociera
y que atrevido el primer beso te robé.
Muy felices
y abrazados,
nos iremos como en sueños, corazón,
hasta el cielo de amor que está esperando
a la más linda mujercita, que sos vos.

Deja,
de llorar, mi amor, que te hace mal.
Deja,
que me pones muy sentimental.
Tus cosas de ayer,
no quiero saber,
quiero tus besos.
También tuve yo,
muerto el corazón...
¿y qué hay con eso?...
Vida,
acércate un poquitito más.
Mi alma,
es nuestra noche para amar.

Muchachita,
tan bonita,
ha llegado ya el momento de partir.
¡Ay!... ¡qué pena tener que separarnos,
el corazón empieza ya a sufrir.
Amor mío,
¡hasta mañana!,
que en la esquina como siempre esperaré

y esta noche, recordándote, querida,

a mi almohada dulcemente besaré.

Notre nuit

 

Petite fille,

n'oublie pas

que ce soir, comme toujours, je serai

au coin de la rue où je t’ai connue

et où j’ai osé te voler le premier baiser.

Si heureux

et enlacés,

nous irons comme en rêve, mon coeur,

jusqu’au ciel d'amour qui attend

la plus jolie petite femme, que tu es.

 

Cesse

de pleurer, mon amour, ça te fait du mal.

Cesse,

tu me rends très sentimental.

Ton passé,

je ne veux pas le connaître,

je veux tes baisers.

Moi aussi, j’ai connu

la mort du coeur...

Et qu’est ce que cela fait ?

Ma vie,

Approche-toi un petit peu plus.

Mon âme,

c'est la nuit pour nous aimer.

 

Petite fille,

si jolie,

maintenant, il est temps que je parte.

Oh! ... Quel chagrin d'avoir à nous séparer,

mon cœur commence à souffrir.

Mon amour,

A demain !

Au coin de la rue comme toujours j’attendrai

et ce soir, me souvenant de toi, ma chérie,

doucement je couvrirai mon oreiller de baisers..

 

 

     La version Armando Cupo - Alberto Morán :

 

 

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